Une arménienne aux pieds divins

Je m’appelle John, je suis américain de base, mais je vis en France, à Bordeaux plus précisément. J’ai 19 ans. Je suis né et j’ai grandi en France. Je suis en ce moment un cours de self-defense, un sport de combat né de la volonté de se défendre contre les agressions mais qui est devenu une vraie discipline. Mon idée à moi n’est pas de savoir me défendre mais bien de pouvoir me rapprocher des pieds de filles, une envie que j’ai toujours eu en moi.

Mais passons, il est déjà l’heure de mon deuxième vrai cours, après un empêchement la semaine précédente. Le professeur s’apprête à prendre la parole.

« Salut à tous, on va reprendre les techniques de la semaine dernière. John, vu que t’étais absent, tu vas avec Clara, elle va te montrer les nouvelles techniques »

Clara, 18 ans, je la trouve un peu dominatrice parfois, mais elle est surtout magnifique. Blanche de peau, avec les cheveux bruns et des yeux magnifiques. J’ai entendu dire que sa grand-mère était arménienne, d’où sa beauté. Bien évidement, j’ai déjà rêvé lors de nombreuses séances d’être à ses pieds.

Ni une ni deux, je me dirige vers elle. Après un bref salut, elle décide de me montrer une technique pour clouer au sol un adversaire : « Fais comme ceci, tu vas me tirer par les cheveux ! »

Je commence alors en hésitant un peu et me retrouve directement au sol, le bras plié, sentant une douleur atroce ! « Tu vois ? » me dit-elle fièrement « Là je peux même te faire ça ! », me tordant encore plus le bras, et posant son pied chaussé d’une jolie basket rose sur le coté de mon visage. Je suis aux anges, bien évidemment, quoi qu’un peu sonné. Je fais semblant de rire avec elle puisque je veux garder bonne figure, mais ce premier contact vient d’être kiffant. « Tu vois ? C’est efficace ! Au moins, si un mec me provoque, je peux facilement le maîtriser » m’annonce-t-elle fièrement.

Me laissant ensuite que peu de répit pour me relever, elle passe au prochain exercice. Il s’agit d’un mouvement inspiré du taekwondo consistant à frapper l’adversaire au visage avec le pied. La démonstration fut si réaliste que le pied de Clara vint violemment me percuter la joue. Pas de réjouissance cette fois, j’ai vraiment eu mal !
« Pardon John ! Je ne voulais pas … » fait-elle avant que je l’interrompe : « Ne t’inquiète pas, je suis pas sensible »

Pour éviter de me blesser plus sérieusement, Clara préfère retirer ses chaussures. J’ai alors pu admirer ses petits petons en chaussettes. Je suis si absorbé par le spectacle que Clara s’en rend compte plaque un de ses pieds sur mon visage, alors que j’étais encore au sol du coup précédant. Je suis aux anges ! Malgré tout, pour rester discret, je préfère la repousser gentiment.

Le cours continue alors sans évènement notable. Mais à la fin, alors que je m’apprête à retourner au vestiaire me changer, Clara vient me chuchoter à l’oreille: « J’ai envie de me détendre un peu au sauna, tu accepterais de venir avec moi ? Histoire de ne pas être seule ! »

Je la suis sans hésiter, imaginant que ce pourrait être l’occasion de nous rapprocher. Nous arrivons donc tous les deux dans la zone du sauna au sous sol, composée d’une petite pièce de repos avec deux fauteuils et une table basse et du sauna en lui même. Supportant difficilement la chaleur, je décide de l’attendre dans cette pièce intermédiaire pendant qu’elle profite du sauna. Elle ressort finalement assez vite et s’assoit sur un des fauteuils. Elle commence alors à regarder ses pieds, pensive, et me demande soudainement: « Tu pense qu’un homme puisse aimer les pieds d’une femme? »

Ouah ! J’hallucine ! Aurait-elle vu clair dans mon jeu ou est-ce une coïncidence ?
Très gêné, je réponds finalement : « Je sais pas… Ça doit exister, enfin je suis pas sur mais bon… »
« Tu vois… » poursuit-elle « J’ai jamais trouvé un copain pour me comprendre… j’aimerais bien pouvoir diriger un homme à mes pieds… Je sais même pas pourquoi je te dis ça tu dois me prendre pour une folle… mais j’arrive pas à expliquer pourquoi j’ai cette envie » Ouhlala l’occasion! On est FAIT POUR se rencontrer, c’est pas possible ! J’oublie ma fierté, ma pudeur, tout et je tente le tout pour le tout : « Et si cet homme était en face de toi? »
Une lueur éclaire alors le visage de Clara, un grand sourire illumine son visage. « Vraiment ? S’il est bien dans cette pièce, que cet homme embrasse mes pieds ! » implore-t-elle.

Mon cœur bat alors la chamade ! Depuis le temps que je rêve d’un moment pareil ! Je me jette à genoux devant elle, approche ma bouche de ses pieds et commence à les embrasser. Ils sont tellement beau qu’il paraissent fragiles. Je prends donc tout mon temps et je dépose un tas de baisers délicats sur le dessus de ces merveilles. « Stop ! » lance-t-elle alors. Je m’arrête net et la regarde. Nos regards se croisent avec complicité. Elle me lance alors un sourire sincère m’ordonnant de lécher ses pieds sales. Elle allonge ses jambes et je découvre enfin sa plante : ses voutes plantaires sont si magnifiques que je ne peux pas mettre de mots dessus.

« Sors ta langue ! » ordonne-t-elle, ce que je fais sans rechigner et commence à lécher les saletés, principalement de la poussière. Le gout en lui-même n’est pas très bon mais la sensation est purement excellente. Je m’applique pour sortir le plus possible ma langue, je lèche le maximum de surface à chaque passage. A peine son pied gauche nettoyé, elle croise les jambes. Je comprends immédiatement qu’elle attend de moi la même chose pour son pied droit, ce que je fis. Le travail enfin terminé, je me permets de lui remettre ses chaussettes et ses baskets car le club va fermer. On va donc chacun se changer avant de se retrouver à la porte d »entrée.

« Viens à la maison avec moi » me propose-t-elle. « Avec grand plaisir mon arménienne » dis-je spontanément. Ce à quoi elle répond par un large sourire.
Je porte bien sûr son sac sur le trajet, qui se fait en tram puisqu’il ne fait pas beau aujourd’hui. Dans le tram, Clara bouge volontairement ses pieds, probablement pour m’aguicher. Ses baskets roses me rendent fou. Pour marquer sa domination et par complicité, elle les pose sur mes jambes, sans me regarder, comme si c’était normal.

Après une petite demi-heure, on arrive enfin chez elle. Elle me laisse entrer en premier en m’ordonnant de m’allonger par terre. Voyant mon corps déjà au sol, elle monte alors  joints sur mon buste et piétine mon corps de ses baskets boueuses. Elle s’arrête finalement et me présente sa première semelle sale en lançant « Lèche ». Totalement scotché par sa facilité à me dominer, je me mets à lécher sa semelle sale. La boue s’accumule dans ma bouche, c’est difficile, mais ça m’excite au plus haut point ! Au bout de 20 minutes de léchage, et non sans difficulté, je termine enfin les deux semelles. Contemplant mon travail, ma déesse essuie ses baskets sur mon pull et m’invite à la suivre dans le salon où elle retire ses baskets et chaussettes avant de s’allonger sans rien dire. Comme si on communiquait sans mot, je comprends qu’elle veux profiter au maximum. Je viens alors lui masser les pieds, je les embrasse, je lèche ses magnifiques plantes, exactement avec le même amour qu’au sauna. J’en profite aussi pour la complimenter sur le soin apporté à ses bijoux, ce à quoi elle ne semble pas insensible malgré son absence de réponse.

Voyant qu’elle commence à s’ennuyer, je m’allonge à ses pieds. Comme si on communiquait par télépathie à nouveau, elle monte alors sur mon visage. Je sens tout son poids, je souffre mais j’adore ! Sa façon de piétiner est divine, c’est comme si elle avait fait sa toute sa vie ! Mais toutes les bonnes choses ont une fin puisque Clara, encore pleine de sueur du sauna et du sport, file à la douche.

A son retour, elle ne me parlait plus comme si j’étais son esclave. On dine en parlant de tout et de rien, en rigolant, je sens vraiment qu’elle m’apprécie pour ce que je suis et pas seulement mon caractère soumis, ce qui me fait au fond vraiment plaisir. On n’a même pas parlé de ce qu’il s’est passé quelques dizaines de minutes auparavant, on profitait juste du repas en tête-à-tête. On a papoté des heures, à tel point qu’on n’avait pas vu l’heure : il était temps d’aller se coucher. Naturellement, je suis convié à rester cette nuit. Mais avant, il me reste une dernière tâche que ma déesse ne manque pas de me rappeler : « Démaquille mes orteils mon petit soumis »

Je prend alors du dissolvant que je mets sur un coton, puis je démaquille un à un chacun de ses orteils, en m’appliquant le plus possible pour ne pas décevoir Clara. Pendant ce temps, elle lit tranquillement un magazine. L’opération prend 20 minutes. Parti ensuite me préparer, je retrouve ma princesse qui a mis un coussin au pied de son lit, en travers de celui-ci, de telle sorte que je puisse m’allonger à ses pieds. Je suis tout excité, j’ai toujours rêvé de passer ce genre de nuit ! Cerise sur le gâteau : sans que je m’y attende, Clara se lève vers moi, m’embrasse rapidement sur la bouche et me dit: « Bonne nuit Darling ».

Je m’allonge alors, et elle allonge ses pieds, de telle sorte que ses plantes soient a 2 cm de mon visage. Dans le noir, je ressens la chaleur de ses pieds, que je me mets à lécher jusqu’à m’endormir. D’ailleurs, à chaque fois que je me réveille dans la nuit, j’en profite pour bichonner un peu plus ces petits petons.

Alors que le jour se lève je ressent un poids qui monte tout a coup sur mon ventre, ce qui me réveille un peu en sursaut. J’ouvre délicatement les yeux, et je la vois qui me surplombe, son pied au dessus de mon visage. J’en profite pour le prendre avec mes mains et sentir son doux parfum, différent de l’habituel. Je comprends alors par ce parfum ainsi que par le nouvel ornement à ses ongles que Clara a bichonné ses pieds rien que pour moi.

Je la salue, puis la suis dans la cuisine pour prendre le petit déjeuner, que je passe a ses pieds, tantôt mangeant du pain, tantôt embrassant ses divins pieds. Quelle sensation divine !

Alors qu’on vient de finir le petit déjeuner,  on entend quelqu’un sonner. Clara claque des doigts en me montrant le porte : « Allonge toi là-bas ! Je vais ouvrir ! »
J’obéis alors qu’une sublime jeune fille entre, une adolescente en hauts talons noirs, avec le bout doré. Elle ressemble beaucoup à Clara, et je comprends qu’elles sont sœurs.
« John! Je te présente Lyda, c’est ma sœur, maintenant, je t’ordonne de vénérer ses pieds aussi bien que les miens » présente Clara.

Alors là je suis au paradis ! Deux maitresses sublimes pour le prix d’une.
Pour lui faire comprendre que je compte obéir, je me mets immédiatement à genoux et embrasse les talons haut de Lyda. Ni elle ni moi ne semblons surpris de cette situation, alors que nous ne nous connaissons même pas ! Et quel bonheur ! Ces talons terriblement hauts sont très attirants.

« On va sortir, esclave, enfile moi mes bottes! » interrompt Clara
Je prend alors ces bottes à semelles épaisses en cuir, et je les lui enfile.

Je prend le volant, Clara s’installe derrière moi, Lyda à coté : on part pour une bonne balade sur la plage. Sur le chemin, Lyda ne se gêne pas pour poser ses pieds sur le volant, et me fait sucer ses talons hauts, ainsi que lécher ses semelles un peu sales. On se fiche un peu du danger évident de cette situation pour la route.

Une fois arrivés, on fait une grande marche plus d’une heure, à un rythme soutenu, on marche dans l’eau, et sur le sable. On parle de nos études, j’apprends que Lyda veux devenir médecin, spécialisée en infectiologie, l’étude des virus et bactéries, je comprends alors qu’elle savait ce qu’elle faisait quand elle m’a fait lécher ses semelles, le risque de tomber malade était calculé. En réalité, d’après ses explications, je ne risque rien. Cependant, elle aurait pu inventer n’importe quoi, je n’y comprenais tellement rien que je l’aurais crue.

Après plus d’une heure de marche intensive, totalement éreintés, on s’installe sur le sable. Je retire les talons de la jeune Lydia, et les bottes bien sales de ma maitresse. Je retire aussi leurs bas et chaussettes. Tout ceci est rapidement devenu un réflexe.

Clara :  » On a pensé à un jeu : tu vas lécher nos pieds, et tu dois savoir lequel est à qui ! Si tu te trompe, tu auras une punition mais si tu réussis, tu auras une récompense ! »
« J’accepte le jeu » dis-je, bien que je n’ai pas vraiment le choix.
Sûr de moi, j’étais impatient de découvrir la récompense qui m’attendait. Lyda bande alors mes yeux avec son foulard en soie. Impossible de tricher, j’étais totalement aveugle. J’ouvre la bouche, tire la langue et sens un talon de pied qui se pose sur ma langue. Je prends alors ce pied dans mes mains, et je commence à en lécher la plante. Le gout est très très salé, c’est un peu difficile, mais je lèche cette plante à la courbure divinement bonne. Puis je passe à l’autre pied, là je fais la même chose.

Il est temps de deviner. Je compare les gouts dans ma tête, après mûre réflexion, je trouve que le second pied est plus salé. C’est donc celui de Clara qui portait des bottes.
Je dis donc: »Le pied que je tiens, c’est celui de Clara! »
Lyda me dit alors : »Ouvre les yeux »
J’ouvre mes yeux et je vois que c’est le pied de Lyda que je viens de lécher.

La punition ne se fait pas attendre : Clara se lève et me fais une de ses fameuses prises. Je me retrouve le nez contre le sable, son autre pied plein de sueur sur ma joue. Cette situation me rappelle un instant le moment où tout a commencé, la veille, sur ce fameux tatami qui risque de devenir pour moi un véritable lieu de pèlerinage.
« Remets moi mes bottes et lèche la semelle » ordonne-t-elle. C’est horrible, je n’ai vraiment pas envie de lécher ces semelles pleines de sable et d’eau de mer. Mais j’ai perdu au jeu, j’obéis donc et me mets à lécher.  Le supplice d’une demi-heure de la première botte n’annonce que le deuxième. J’ai la gorge vraiment sèche mais je n’ai pas le choix.

Une nouvelle demi-heure plus tard, ma besogne terminée, Lyda en profite pour prendre la parole : « T’as bien respecté le jeu, ça mérite une récompense ! Va à la maison, on arrive dans une heure »

J’obéis et rentre en tram sans me poser de question. Le fait qu’elles m’aient confié leurs clés alors qu’on se connait finalement peu me touche. Arrivé sur place, je profite du battement pour regarder des tutos pédicure sur YouTube. Au bout d’une bonne heure et demi, les filles rentrent enfin. Comme elles me l’ont demandé précédemment, je fixe le mur sans les regarder.
Je les entends s’installer sur le fauteuil derrière moi. Une douce voie m’invite alors à me retourner et à les rejoindre. Je vois alors leurs pieds allongés sur la table basse, jambes croisées dans des tongs, celles en tissus qu’on trouve dans les spa. Je les retire, et je découvre leurs pieds ma-gni-fiques, encore plus qu’avant ! Ils sont si lisses et parfaits !
Elles ont fait plus d’une heure de soin pour pied, rien que pour moi et mon plaisir. J’ai vraiment de la chance d’avoir ces deux déesses-là et leurs pieds. Je ne peux pas résister et me mets à les lécher avec envie sans pouvoir m’arrêter. Et ce pour des heures durant …

Tfbslover

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