Liberté, Amitié, Jovialité

Liberté, amitié, jovialité : telle pourrait être la devise décrivant les joies de la vie étudiante. C’était dans cette ambiance bon enfant que je partageais de bons moments avec ma bande d’amis de la fac. Chez nous, on respectait la parité : 5 garçons, 5 filles. Enfin une fille surtout : Chloé. Une jolie petite blondinette qui ne me laissait pas indifférent. Elle avait des yeux bleus très profonds et ses longs cheveux formaient un dégradé de plus en plus blond clair au fur et à mesure que l’on s’éloigne de la racine. C’était une fille plutôt timide mais qui avait tendance à s’emporter facilement quand elle s’énervait. Elle et sa meilleure amie Manon étaient inséparables. On les surnommait d’ailleurs Tic et Tac. De ce que j’ai compris, elles se connaissent depuis le lycée mais rien de sûr. Manon avait les cheveux châtain clair, des yeux marrons et, à l’inverse de sa meilleure amie, un caractère assez calme mais bien affirmé.

Oui mais voilà, cette fameuse Manon, je la connaissais bien. Trop bien même, mais tout le monde l’ignorait autour de nous. Nous étions des années en arrière au même collège et le moins que l’on puisse dire c’est que l’on ne s’aimait pas beaucoup. De nombreuses histoires anodines comme il y en a beaucoup à cet âge-là m’ont amené à divulguer des rumeurs sur elle qui l’ont suivi jusqu’en 3ème. Par la suite, je n’ai jamais plus eu affaire à elle. Enfin … jusqu’à cette année. Depuis la rentrée en septembre, on s’est peu parlé mais elle fait tout pour me pourrir la vie sans que les autres ne s’en rendent compte, probablement par vengeance de ce que je lui ai fait subir au collège. Elle avait visiblement remarqué mon faible pour Chloé puisqu’elle s’arrangeait toujours pour s’interposer entre nous. Je ne pouvais pas me venger, de peur qu’elle ne retourne la jolie blonde contre moi. Malgré tout, je me promettais de ne pas rater l’occasion de lui rendre la monnaie de sa pièce un jour ou l’autre.

Ce vendredi soir de janvier, l’heure était à la fête pour la fin des partiels. Le club des 10 s’était donné rendez-vous chez Manon car c’est elle qui avait le plus grand appartement. La chance sourirait-elle aux plus manipulateurs ? Pas le temps de réfléchir, je sautai dans ma voiture avant d’être en retard. Mon appartement était à l’opposé de la ville par rapport à chez elle. Comme souvent, je fus le dernier arrivé et fus applaudi par l’assemblée de mes amis à mon arrivée. Une soirée festive, comme on peut l’imaginer d’une soirée étudiante. Jeux d’alcool et autres joyeusetés furent au rendez-vous. Un défi me marqua plus particulièrement . L’intitulé : « Celui qui a le verre le plus rempli renifle les pieds de ses deux voisins ou finit son verre ». J’étais entouré de Julie (une fille assez jolie mais que je connais peu) et de … Chloé !

Le temps de feindre l’hésitation que voilà déjà un pied en chaussettes noires s’approcher de moi. Il s’agissait du pied de Julie que je reniflai brièvement, d’autant qu’aucune odeur ne n’en dégageait. Je me suis ensuite retourné du côté de Chloé où mes narines furent accueillies par de jolies petites chaussettes grises ornées de têtes de chat. Cette fois une légère odeur s’en dégageait. Le genre d’odeur qui passerait presque inaperçue pour un non-initié mais qui était un véritable petit plaisir olfactif pour un amateur comme moi .Pour taquiner la jolie propriétaire de ce peton, je fis un geste d’éventail devant mon nez avec la main avec un air dégouté. La réponse fut une petite tape du pied sur la joue accompagnée d’un « Non mais dis donc ! » avec le sourire. « Pour la peine, tu bois quand même ! » ajouta-t-elle. Je ne me fis pas prier et bus d’une traite mon breuvage.

A la fin de la soirée, je ne comptais plus les verres que j’avais engloutis. J’étais avachi sur le canapé, vide de tout courage. De plus, j’exagérais mon état car c’était Chloé qui s’occupait de moi. Les quelques grammes que j’avais dans le sang étaient la parfaite excuse pour admirer les traits de son visage ou les contours de ses petits pieds cachés sous ce tissu gris. Son sourire était si réconfortant que tout le reste paraissait anodin. Mais il se faisait tard et les gens commençaient à rentrer chez eux. Il était évident que je ne pouvais pas reprendre la route dans cet état. Chloé me proposa alors de venir dormir chez elle car il y avait la place pour dormir à deux. Cette proposition me fit sortir de ma somnolence et mon cœur se mit à battre la chamade. J’étais aux anges, prêt à la suivre quand un démon vint apporter son grin de sel : Manon insista pour que je reste chez elle car elle avait un matelas et que ça éviterait de me traîner jusqu’à chez Chloé. « Quelle connasse ! » me dis-je. Mais son argument était si irréfutable que j’ai n’ai rien trouvé pour contester. Je laissai donc Chloé partir et mes espoirs avec, me laissant à la merci du joug de Manon. Une fois en tête à tête après que tout le monde soit parti, je demandai en soupirant :
– Tu as pas vraiment de matelas, pas vrai ?
– Si, mais pas pour toi. Toi, tu vas dormir par terre. Enfin … pas tout de suite ! répondit-elle, avec un air sadique.

Il ne manquait plus que ça … Non seulement Manon me privait d’aller chez mon crush, mais en plus elle voulait m’empêcher de dormir alors que j’étais épuisé ? Non, il était hors de question que je me laisse faire par une peste de la sorte ! Tant pis si je devais dormir par terre mais j’allais dormir ! A l’aide de mon pull en boule en guise d’oreiller et contre la volonté de Manon, je m’allongeai par terre. Malheureusement, le répit fut de courte durée. En effet, à peine couché, un pied nu froid vint me secouer au niveau de la nuque pour me faire lever. « Laisse moi tranquille ! » fis-je immédiatement à Manon. Aucune réponse de sa part, mise à part une nouvelle tentative du pied, cette fois sur ma joue. Bon sang ! J’avais beau être fétichiste, il était hors de question de toucher aux pieds de cette peste. Me soumettre à elle lui aurait donné trop de satisfaction. Finalement, voyant ses efforts vains, elle finit par se baisser à ma hauteur pour me retourner sur le dos en me tirant vers elle. J’étais trop faible pour résister. Une fois allongé sur le dos, la lumière de l’appartement m’aveuglait de nouveau. Je vis alors Manon qui se relevait en me disant :
– Alors petite merde, on est dans le mal ? Dommage pour toi, ton malheur ne fait que commencer !
– J’ai pas peur de toi. lui répondis-je sèchement.
– On va voir ça ! Allez debout feignasse ! me fit-elle en me secouant le torse du pied.

Cette position me ramenait à mes fantasmes fétichistes. Pourtant, la haine envers cette fille était plus forte que tout. C’est alors sans réfléchir que je lui pris la cheville de la main et la tirai de façon à la faire tomber. Elle chuta lourdement au sol. Malgré ma haine envers elle, mon but n’était pas de la blesser mais c’est ce que je venais de faire. Lorsqu’elle se releva après avoir passé quelques secondes au sol, elle me lança un regard si tueur qu’instinctivement je me suis excusé, en vain. Elle m’ordonna de me lever face à elle, ce à quoi je n’ai pas pu résister. Me dressant désormais face à Manon en baissant les yeux, elle m’asséna une gifle monumentale, si forte que je dû faire un pas en arrière.

C’est comme si la colère avait propulsé sa main. Ma joue me brûlait, je devais probablement être rouge, mais Manon ne me laissa pas le temps de reprendre mes esprits. Alors que je me tenais encore la joue, un peu sous le choc, elle alla d’un pas décidé fouiller un tiroir. Elle en sortit un petit marteau. J’ai alors pensé qu’elle avait perdu la tête. Elle comptais m’assommer ou quoi ? Les réponses à mes questions ne se firent pas attendre : Manon se mit à se frapper le bras frénétiquement avec le marteau. « J’hallucine ? » me dis-je intérieurement. Elle était en train de se frapper elle-même ! J’ai de suite accusé l’alcool que j’avais ingurgité qui aurait faussé ma vision du réel mais il n’en était rien.

J’accourus alors vers elle en lui demandant ce qu’elle faisait, ce à quoi elle répondit « Je me fais volontairement des bleus et demain je fais croire à tout le monde que tu m’as frappée, ça t’apprendras ! ». J’étais stupéfait ! Comment pouvait-on être cynique au point de prétendre des choses graves pour ruiner la vie d’un camarade ? Cette fille était décidément complètement tarée ! Il fallait que je fasse quelque chose, et vite ! J’ai bien essayé de lui faire entendre raison, mais rien n’y faisait, elle maintenait ses menaces. Je ne voyais plus qu’une seule solution, tant pis pour ma fierté, tant pis pour mes principes. Je me jeta à genoux devant elle en la suppliant d’arrêter.
– Aaaah tu as enfin compris que j’étais supérieure à toi, sale merde ? demanda-t-elle en posant le marteau.
– Euh … oui si tu veux mais par pitié ne fais pas ça … implorai-je.
– Dis le ! « Je suis une merde et Manon est une reine » allez ! ordonna-t-elle.
– … Manon calme-toi s’il te plait …. lançai-je dans une tentative désespérée.
– Je t’écoute, dépêche toi ! insista-t-elle.
– Je … suis une … merde et … Manon est … une reine… répétai-je avec honte.
– C’est bien soumis, maintenant baises les pieds de ta reine ! exigea-t-elle.

Non mais n’importe quoi ! Il était hors de question que moi, bien que fétichiste, embrasse les pieds d’une fille que je déteste ! Je ne voulais même pas regarder s’ils étaient beaux ou quoi ou qu’est-ce : mon fantasme, je voulais l’exhausser avec des filles qui me plaisent, pas avec ma pire ennemie ! Voyant mon rejet, Manon se retourna dos à moi et partit avec le marteau toujours à la main. Je ne pouvais pas la laisser faire ça, j’étais obligée de me plier à ses caprices ! Plus de questions à se poser, je me jette à ses pieds pendant sa marche en manquant de la faire tomber de nouveau et me mis à déposer frénétiquement des dizaines de petits baisers sur le dessus de ses pieds. Après un léger temps de surprise, Manon se mit simplement à sourire en me laissant faire, sans rien dire, pendant plusieurs dizaines de secondes interminables. Je mettais une énergie telle à ma tâche que j’en devenais essoufflé. Heureusement, j’eus l’autorisation d’arrêter de la part de la reine maléfique. « Eh beh soumis, on dirait que tu as fait ça toute ta vie ! » ironisa-t-elle. J’étais extrêmement gêné, je n’ai pas su quoi répondre.

Manon me demanda finalement de la suivre jusqu’au salon. Comme elle me l’a ensuite indiqué, je me suis assis à une extrémité du canapé qui s’y trouvait. C’était un long canapé en tissu beige qui semblait être un clic-clac. Une fois assis, la pseudo-reine s’est installée à son tour en s’allongeant de tout son long sur le canapé en prenant le soin de poser ses pieds sur mes genoux. Elle me demanda un massage des pieds. J’hésitais encore mais de toute façon il était trop tard pour reculer maintenant, Je me mis donc à lui masser les pieds comme je savais bien le faire. Je commençai par détendre ses orteils par de petites pressions puis je descendis progressivement le long de la plante en agrandissant mes mouvements de doigts. Elle avait l’air de bien apprécier, à tel point qu’elle s’endormit au bout de quelques minutes seulement. Je déposai alors délicatement ses pieds à ma place sur le canapé et partis me coucher car j’étais vraiment exténué.

Pourtant, une fois retourné dans le coin de la pièce où tout avait commencé, je n’arrivais pas à dormir, ou du moins par intermittence. Les heures passaients mais j’étais toujours perdu dans mes pensées. Malgré tout le mépris que j’ai pour cette fille, forcé de constater que j’ai aimé la servir. Finalement, je regrette même presque que cela ne soit pas allé plus loin. Mais après tout, les pieds nus de Manon reposaient à quelques mètres à peine pendant qu’elle dormait… Poussé par les résidus d’alcool que j’avais encore dans le sang, je me levai et m’approchai discrètement des deux fameux objets de convoitise. J’ai alors pu les admirer pendant de longues minutes, sans rien faire. De jolis petits pieds, taille 37/38 environ avec des orteils bien ronds et une plante qui paraissait douce et sans défauts, mise à part la poussière accumulée par la marche pieds nus dans l’appartement. J’aurais pu baver devant ces petites merveilles pendant des heures mais les premiers rayons du soleil me ramenèrent à la raison. Si je voulais tenter quelque chose, c’était maintenant ou jamais, elle allait peut-être se réveiller bientôt.

C’était très risqué mais, après une grande hésitation, je pris mon courage à deux mains et saisis délicatement un des pieds qui m’étaient offert. La première chose que je fis fut de sentir leur odeur. J’étais assez déçu, l’odeur dominante était celle de la poussière. Je restais donc sur ma faim. J’ai alors décidé de franchir le pas et j’ai approché ma bouche du pied pour lui donner un petit coup de langue. La réaction fut immédiate : Manon se réveilla en sursaut en me demandant ce que je fabriquais. Quel con … Je venais de me mettre dans un sacré pétrin. J’ai essayé de noyer le poisson en lui disant que c’était ma reine et que je devais la servir ou encore que j’étais bourré mais elle n’était pas dupe.

J’ai alors pris une grande respiration et me suis mis à lui avouer que j’étais fétichiste des pieds féminins, que j’aimais les lécher, les sentir, etc … Ce fut très difficile à expliquer tant j’avais honte de moi et du jugement qu’elle allait porter sur moi. En plus, étant ma pire ennemie, elle n’allait sûrement pas se gêner pour se moquer allègrement de moi. Pourtant, une fois mon petit monologue finit, Manon restait bouche bée. Mais elle ne semblait pas me regarder mais plutôt au dessus de moi. Je me suis alors naturellement retourné. Je vis alors Chloé, sur le pas de la porte, figée, avec un sachet de croissants à la main.

Les secondes des silence qui suivirent parurent des heures. Je fixais le sol de honte en me persuadant que tout ceci n’était pas réel et que j’allais bientôt me réveiller. J’étais à la limite d’exploser en sanglots mais le peu de fierté qui me restait suffit à m’en empêcher. Finalement, après un long blanc, Manon se mit soudain à pouffer de rire, ce qui m’enfonça plus profondément encore dans la honte. Je pestais contre moi-même de m’être livré de la sorte. Chloé, quand à elle, restait muette et sans expression, comme figée dans le temps. Finalement, elle sortit de son silence : « Je pense que si je racontais certaines choses de ce style que tu m’as dites, ça te ferait nettement moins rire Manon ». Son interlocutrice se tut instantanément et baissa la tête. Quand à moi, je relevai timidement le regard en direction de Chloé, surpris qu’elle prenne ma défense. « Suis-moi, on va aller manger les croissants ailleurs » me lança-t-elle. Sans lancer le moindre regard à Manon ni me poser la moindre question, je saisis mes affaires et suivis Chloé. L’enchaînement d’événements des dernières minutes m’avait totalement déboussolé, j’étais complètement hébété. Le trajet se fit dans un silence religieux, je me sentais très mal à l’aise et je ne comprenais pas où Chloé m’amenait ni pourquoi.

On arriva finalement devant une porte au deuxième étage d’un immeuble. J’en ai rapidement déduit qu’on était arrivés chez elle. A peine entrés, elle brisa le silence en me proposant de me déchausser et de m’installer à table pour petit déjeuner. Reprenant un peu mes esprits, j’ai suivi son invitation, sans dire un mot. Une fois déchaussée, elle vint s’installa à son tour à table en face de moi. Je me suis interdit de jeter le moindre coup d’œil à ses pieds nus libérés de leurs sandales durant leur trajet jusqu’à la chaise. Confortablement assis l’un en face de l’autre, Chloé entama le sujet qui fâchait : ce qui s’est passé chez Manon et la révélation que je venais de faire. Heureusement, elle s’est montrée compréhensive et amicale, sans jamais sous entendre la moindre moquerie. Elle avait déjà entendu parler du fétichisme mais me posait tout un tas de questions pour mieux comprendre. Elle paraissait ouverte voire curieuse, ce qui m’aida à me sentir plus à l’aise malgré ce qui s’était passé quelques minutes avant.

Finalement, alors qu’un court silence s’était installé, elle vint poser ses pieds sur mes genoux, en me proposant de lui masser lui pieds, devinant que cela ne me dérangerait pas, bien au contraire. Le contact soudain et inattendu de ses petons sur mes genoux fit accélérer mon cœur de façon impressionnante. Me voyant rougir, Chloé me lança un petit sourire amical en agitant ses orteils. Ce sourire m’autorisa à regarder les bijoux qui m’étaient offerts mais qui étaient jusqu’ici cachés par la table. Ce que je découvris me satisfit pleinement. Ses pieds étaient vraiment très mignons, un petit 39 d’après mon œil expert. Elle avait les orteils harmonieusement rangés et vernis et je pouvais distingua un petit tatouage d’étoile sur le côté de son pied droit. Après un sourire un peu crispé en réponse au sien, je me mis à masser doucement ses petons. Après quelques brèves mouvements de pouces sur la peau douce, elle m’interrompit et me proposa d’aller nous installer sur le sofa pour y être plus à l’aise.

Le massage se poursuivit donc quelques mètres plus loin, dans le salon. Je me suis assis au bout du canapé pendant qu’elle s’allongeait de tout son long avec de nouveau ses pieds sur mes cuisses, comme Manon quelques heures auparavant. Je tremblais beaucoup, mélange de plaisir, de pression ou d’appréhension, difficile de définir cela précisément. Rapidement, alors que je commençais à peine à masser son second pied, Chloé fit semblant de s’étirer et vint poser son premier peton sur ma joue. Je restai alors figé comme du marbre. Mon cœur battait si fort que j’en étais essoufflé. « Allez, j’essaye juste de décoincer un peu Monsieur le timide ! » m’annonça-t-elle en riant légèrement. Enfin décidé à saisir la chance de ma vie grâce à cette annonce, je pris un grand inspiration et, d’un mouvement sec, je saisis son pied et me mis à le lécher précipitamment. Prise de court, Chloé éjecta son pied d’entre mes mains en prenant un air surpris. Gêné, je me suis alors excusé d’avoir été aussi brutal, ce qui suffit finalement à la convaincre de me confier ses bijoux de nouveau. Je me mis donc à lécher, délicatement cette fois, sa plante.

C’est à ce moment précis que Manon fit irruption dans l’appartement et lança, après un petit moment de surprise : « Je vois qu’il y en a qui se font plaisir ! Bon… si tu acceptes mes excuses, tu auras le droit de me chouchouter les pieds autant que tu veux, ça te vas ? ». Un peu surpris, et après un rapide coup d’œil vers Chloé, j’acceptai avec plaisir et invitai Manon à se joindre à nous. Comme il n’y avait plus de place sur le petit sofa, il fallait adapter la configuration du tout. J’ai donc décidé de laisser ces charmantes demoiselles s’asseoir et je me suis placé à genoux en face d’elles. Réconciliées après le brève malentendu du matin-même, les deux amies décidèrent sans hésiter de partager mes services entre leurs 4 pieds, ce qui semblait convenir à tout le monde, surtout moi. Ma première mission, confiée par Chloé, fit de prouver à quel point j’étais « pro ». Elles ignoraient que je vivais ici ma première véritable expérience fétichiste mais ça n’avait pas d’importance, je ne comptais pas les décevoir vu le plaisir qu’elles m’offraient. Pendant les longues et palpitantes minutes qui ont suivi, j’ai léché chacun des 4 petits pieds un par un pendant que les 3 autres me tripotaient les cheveux, le visage, le torse et descendaient de plus en plus. Lorsque l’un d’eux arriva enfin à mon entre jambes en ébullition, les filles s’arrêtèrent subitement, se regardèrent, sourirent, et me demandèrent de me relever.

Sans crier gare, Chloé se leva à son tour, me déshabilla et se mit à me faire une fellation. Le plaisir qu’elle me procura alors fut à la hauteur de la surprise. Au milieu de l’acte, Manon s’éclipsa discrètement en me jetant un clin d’œil complice. Lorsque qu’elle entendit la porte d’entée de l’appartement se claquer, Chloé se releva, m’arracha le t-shirt qui était mon dernier vêtement, se déshabilla à son tour (avec mon aide) et m’accompagna dans sa chambre avec un sourire coquin. Elle était encore plus belle nue. Des courbes harmonieuses, une poitrine plaisante sans être vulgaire et bien sûr des jambes fines conclues par ses magnifiques pieds qu’on ne présente plus. Elle sortit alors un préservatif de sa table de nuit. Je me suis empressé de l’enfiler pendant qu’elle s’allongeait à côté de moi. Je réalisai alors que je passais la plus belle journée de ma vie. C’est sur cette pensée que je me suis ensuite retourné vers elle et j’ai enlacé son corps avec le mien. La fameuse journée ne faisait alors que commencer. C’est surtout ce jour-là que débuta notre histoire d’amour.

AdoFeet

Modèle photo : MimiFeet38

5 réflexions au sujet de « Liberté, Amitié, Jovialité »

    1. Merci beaucoup ! Je suis un peu débordé en ce moment avec mes recherches de stage et autres projets mais tout ça va se calmer prochainement. Je vais essayer de publier une histoire dans la semaine !

      J’aime

Laisser un commentaire