Les leçons de la nouvelle année

31 décembre. L’heure du bilan de l’année, mais surtout l’heure de l’une des soirées que j’attends le plus chaque année. Le passage à minuit et à la nouvelle année est toujours un moment festif et de complicité avec ses proches, et l’occasion de souhaiter à tous la santé et la réussite pour les 12 prochains mois. Il est donc capital de bien choisir où et avec qui on passe la soirée du réveillon, et pour cette année, j’ai choisi d’aller à la fête organisée par mon ami d’enfance Benoît. Certes, je ne vais pas connaitre grand monde, car les invités sont principalement des collègues de travail ou anciens camarades de promo de Benoît, mais je me dis que c’est aussi l’occasion de faire de nouvelles rencontres.



Le jour J, sur les coups de 20h, j’arrive devant l’immense maison de vacances des parents de Benoît, qu’ils nous prêtent gentiment pour l’occasion. Même si je connais déjà bien les lieux, je préfère sonner et attendre qu’on vienne m’ouvrir. La porte s’ouvre et je suis accueilli par une demoiselle, souriante et bien habillée. Une blonde d’environ 1m70 avec les yeux verts, qui s’est visiblement mise sur son 31 avec une longue robe, des escarpins argentés et un maquillage soigné. Je dois bien admettre que, dès les premiers instants du réveillon, je tiens déjà mon « crush » de la soirée.

Mais pas question de commencer à être trop insistant. Je me présente poliment, en expliquant que je suis un ami de longue date de l’hôte. En retour, elle m’apprend qu’elle s’appelle Élise et qu’elle a fait son master avec Benoît, qui est resté un bon ami depuis. Ce dernier fait d’ailleurs immersion dans l’entrée pour venir voir qui venait d’arriver, et court dans mes bras lorsqu’il me reconnait. Il nous accompagne ensuite, Élise et moi, vers le salon où les convives sont déjà en train de prendre l’apéritif dans une ambiance bon enfant. Au total, une quinzaine de personnes est présente, un total qui sera bientôt porté à 20 lorsque les derniers invités sonnent à la porte quelques minutes plus tard.

La soirée suit ensuite son cours, soirée pendant laquelle je fais la connaissance d’autres amis de Benoît, et retrouve avec plaisir des personnes que j’avais déjà eu l’occasion de côtoyer par le passé. Cependant, je ne peux pas m’empêcher de penser à cette Élise qui m’a fait si forte impression à mon arrivée. Assez timide par nature, je refuse de laisser une fois de plus passer ma chance avec une jeune femme qui me plait. Après tout, si ça ne fonctionne pas, j’aurai essayé, et je ne la reverrai probablement plus. Cependant, elle est toujours entourée de plusieurs personnes, et même si j’arrive à m’immiscer dans la conversation, l’occasion de discuter avec elle de façon plus privée ne se présente pas pendant la majeure partie du réveillon.

Sur les coups de 23h15, alors que je partais chercher une bouteille d’alcool pour remplacer celle qui était vide dans le salon, je croise Élise et Benoît assis sur la dernière marche de l’escalier qui monte au premier étage. Élise se tient la cheville de son pied droit nu, avec son escarpin posé juste à côté. Je décide de m’approcher pour savoir ce qu’il se passe, et quand les deux remarquent ma présence en tournant la tête vers moi, Benoît m’interpelle :

« Ah tu tombes bien ! Élise s’est fait mal à la cheville, ça te dérange de t’occuper d’elle ? Faut que je retourne au salon pour surveiller que tout se passe bien ! »

« Euh oui bien sûr pas de soucis ! » je lui rétorque, un peu pris de court.

« Vous pouvez aller dans ma chambre là-haut, ça sera plus à l’aise pour elle ! » il conclut, en se levant et en me lançant un regard complice. Il connaissait très bien mon amour pour les pieds féminins, et je me doute qu’il fait ça pour m’aider. Il rassure aussi ma future « patiente » en l’assurant qu’il la laissait entre de bonnes mains.

Perturbé par la situation qui était cocasse mais également une chance inespérée de me rapprocher d’Élise, je l’aide à se relever, l’invite à retirer son autre escarpin pour éviter un nouveau drame, et prends son bras sur mon épaule pour l’accompagner en douceur jusqu’à la chambre à l’étage. Une fois dans la pièce, j’installe Élise sur le lit et fais rouler la chaise du bureau jusqu’à être en face d’elle. À mon tour assis, je tire la poignée pour faire descendre le siège le plus bas possible afin d’être au bon niveau pour m’occuper de la cheville d’Élise. Elle tend ensuite sa jambe pour que j’examine ce qui la fait souffrir, et je ne me fais pas prier pour la saisir avec mes mains.

Difficile de garder les idées claires quand on est fétichiste avec le mignon peton d’une si belle femme entre les mains. L’examen de sa cheville est une excellente excuse pour admirer les courbes de sa plante. Un pied de toute évidence égyptien, avec une peau très douce d’un beige légèrement rosé au niveau du talon et du haut de la plante. Le creux du pied est, lui, plus clair, presque immaculé. Ses orteils sont très fins et assez courts, avec un bout parfaitement arrondi.

Malgré ce spectacle particulièrement plaisant, je n’en oublie pas pour autant ma mission en faisant doucement tourner la cheville d’Élise, tout en lui demandant comment elle s’était fait mal. Elle m’explique qu’il s’agit d’un pas de danse malheureux qui a fait pivoter son pied vers l’extérieur, ce qui avec la hauteur du talon a fait plier sa cheville plus que ce qu’elle n’est censée faire. Je la rassure en lui expliquant que ça n’avait pas l’air très grave et qu’un bon massage suffirait à la soulager. Un massage que je vais lui prodiguer, naturellement, ce qui me vaut un remerciement chaleureux de la part de la jolie demoiselle.

Même si je meurs d’envie de m’occuper du dessous de son pied, il me parait logique de commencer par la cheville, notamment la malléole externe et l’articulation de la cheville, qui sont les points chauds de ses douleurs. Je malaxe lentement sa peau avec mon pouce, en sentant que je touche des points sensibles. Je me permets donc de demander régulièrement à Élise si ça lui convient, ce à quoi elle répond systématiquement que ça lui fait du bien. Petit à petit, je glisse mes mains davantage vers son pied, d’abord le dessus en pinçant doucement le côté du pied entre mon pouce et mes autres doigts. Puis enfin, j’incline sa cheville vers le haut pour avoir accès à ce qui me faisait le plus envie, sa plante de pied, tout en levant légèrement sa jambe pour que son pied soit presque au niveau de mon visage.

Je me mets ensuite à appliquer des pressions circulaires tout le long de sa plante, concentré comme jamais, dans le silence. J’en oublie presque la présence d’Élise elle-même, et quand je lève la tête pour regarder son expression faciale, je découvre son visage d’ange arborant un léger sourire avec ses yeux fermés comme pour profiter de l’instant. Des yeux qui s’ouvrent quand mon regard se pose dessus, ce qui rend ma partenaire presque gênée : « Oh pardon, j’étais perdue dans mes pensées ! Tu fais ça vraiment très bien c’est super agréable ! ». Un peu timide, je la remercie en rougissant légèrement, puis décide de changer de sujet en lui posant des questions sur sa vie professionnelle.

Après quelques minutes, la porte de la chambre s’ouvre et apparait une jeune femme brune assez grande. De ce que j’ai pu comprendre des conversations de groupe du début de soirée, il s’agit de Roxane, une amie proche d’Élise. Elle porte à la main une paire de ballerines plates, probablement une paire de secours pour éviter à Élise de marcher encore avec ses talons.

« Comment va ta cheville Élise ? » demande-elle, alors que j’étais encore en train de masser le pied en question.

« Beaucoup mieux ! J’ai la chance d’avoir un vrai expert des pieds pour s’en occuper. Mais viens t’assoir avec nous 2 minutes ! » propose Élise.

« – Expert genre… un vrai podologue ou un fétichiste ? » demande Roxane, assez surprise de la situation, tout en s’approchant de nous.

« – Euh plutôt fétichiste, j’avoue… » je réponds à Roxane, gêné par la question, mais avec la volonté de dire la vérité à Élise.

« – Sérieux ?? Genre depuis tout à l’heure tu fais ça pour te faire kiffer ? » lance Élise, choquée, tout en retirant son pied de mes mains.

« – Euh non non c’est pour t’aider avant tout ! Alors oui j’aime bien faire ça, c’est vrai, mais c’est encore mieux si on passe tous les deux un moment non ? » je rétorque, en essayant de rattraper la situation.

En réponse, Élise lance un regarde à Roxane qui hoche la tête pour valider ma version des faits. Après une brève hésitation, et face à la confirmation de son amie, elle accepte de me confier son pied à nouveau, en m’admettant que ce que je fais est agréable. Un peu embêté par la réaction d’Élise, je reprends mon travail de massage, même si l’ambiance n’est pas la même. Après quelques secondes, Élise retire une fois de plus son pied, mais cette fois en me tendant le second, en justifiant qu’elle a dansé avec ses talons et que donc l’autre pied mérite un massage aussi. Je ne me fais pas prier pour appliquer les mêmes mouvements à son peton gauche pendant une dizaine de minutes, alors que les deux amis discutent entre elles, sans vraiment prêter attention à moi.

Ce sont finalement les appels extérieurs nous invitant à descendre pour le passage à la nouvelle année qui mettent un terme à cette situation. En regardant rapidement ma montre, je constate qu’il est en effet 23h57. Je rends immédiatement le pied à sa propriétaire et me lève, alors qu’Élise enfile en vitesse les ballerines apportées par Roxane. Lorsque l’on arrive en bas, l’ambiance est très festive, ça chante, ça danse, et personne ne semble vraiment avoir remarqué notre absence. À peine le temps de les rejoindre qu’il est déjà l’heure du décompte. 5… 4… 3… 2… 1… Bonne année !!

Les filles et moi crions avec les autres et commence la tournée des vœux personne par personne. Au moment de prendre Benoît dans mes bras, il me murmure à l’oreille « alors ? », ce à quoi je réponds par un simple « je te raconterai ». Comme un symbole, c’est à Élise que je souhaite la nouvelle année en dernier. Après ce qu’il s’est passé, on semble tous les deux gênés mais sincères dans nos vœux. Rapidement, Roxane intervient et invite son amie à retourner toutes les deux dans la chambre, avant de rajouter que je peux les rejoindre dans un moment si je le souhaite.

Cette dernière proposition me laisse perplexe. Qu’est-ce que ça veut dire ? Est-ce qu’elles veulent reparler de ce qu’il s’était passé ? Ou juste discuter pour faire connaissance ? Un mélange d’appréhension et de d’impatience m’envahit, et après une dizaine de minutes à raconter à Benoît la situation, je sens que c’est le moment d’y aller. Je me présente devant la porte et presse doucement la poignée pour ouvrir et entends des chuchotements.

« Chut il arrive. Oui ! Tu peux entrer ! On a une proposition à te faire ! » me lance Roxane, alors que je suis son invitation et entre dans la pièce. « J’expliquais à Élise en quoi consistait le fétichisme et elle est curieuse d’essayer. Soit tu acceptes de faire le cobaye et tu viens t’assoir par terre face à nous, soit tu peux sortir et on oublie tous cette histoire. » me propose-t-elle. Je ne pouvais pas en croire mes oreilles. En regardant à leurs pieds, je constate qu’effectivement il y a un coussin au sol qui m’attend, mais en plus les deux jeunes femmes ont retiré leurs chaussures, et semblent m’attendre avec leurs jambes croisées. Élise est toujours pieds nus, mais Roxane, qui portait des bottines à talons, arbore des chaussettes courtes rayées noires et blanches. L’occasion est trop belle, et je n’hésite pas longtemps avant d’aller docilement m’assoir sur le coussin, sans dire un mot.

« Là pour commencer, bon toi tu es déjà pieds nus mais tu peux lui demander de retirer tes chaussettes ou tes chaussures si tu en as » explique Roxane, en rapprochant légèrement l’un de ses pieds pour m’y donner accès. À peine le temps de prendre en considération l’information que je reçois une gifle de ce même pied. « Par contre si tu me fais tout répéter deux fois ça va pas le faire ! ». Je baisse les yeux et saisis son pied avec mes mains puis je fais glisser sa petite chaussette le long de son pied. « Bon lui il a pas l’air doué mais sinon tu peux aussi demander de le faire avec les dents. » Vexé, j’attrape presque agressivement son deuxième pied, l’approche de mon visage et viens mordre du bout des dents la chaussette entre son premier et son deuxième orteil, sans lui mordre la peau, avant de tirer jusqu’à faire apparaitre entièrement son pied. Un joli peton, légèrement plus grand que celui d’Élise, mais tout aussi bien entretenu avec un tatouage sur le dessus. Roxane se contente de me lancer un sourire satisfait.

« Et là tu vois il est dans la bonne position pour embrasser ton pied, suffit juste de lui donner un coup de pouce » poursuit Roxane, en tendant son pied à quelques centimètres de ma bouche. Je ne me fais pas prier et dépose un baiser juste en dessous de ses orteils, ce qui permet à mon nez d’être aux premières loges pour apprécier la délicate odeur de cuir qui s’est construite dans ses bottines. C’est à ce moment que je commence à me demander comment Roxane peut être aussi experte. Peut-être une relation passée avec un fétichiste. « À toi très chère ! » ajoute-t-elle en souriant à son amie. Élise, un peu hésitante, me tend timidement son pied au niveau de ma bouche. « Allez, embrasse ! » m’ordonne-t-elle, avec un ton autoritaire mais visiblement peu naturel pour elle. Je m’exécute avec plaisir, en sentant cette odeur différente, plus proche d’un parfum de gel douche mélangé à un peu de sueur. « Encore ! Encore ! Encore ! » ajoute-t-elle, alors que je continue de déposer des baisers sur sa plante. Pendant ce temps, sa copine semble amusée de la situation et de l’envie que met son amie dans cette nouvelle pratique, aussi tôt dans l’apprentissage.

« Puisque tu as l’air à fond, fais-lui lécher aussi ! » propose Roxane. Je n’attends même pas la réponse d’Élise et me sors la langue pour nettoyer la douce plante du joli pied d’Élise. Alors que je ferme les yeux pour déguster ce moment, j’entends les ricanements des deux filles. Je me délecte de son peton en passant ma langue du talon à la pointe, en insistant sur la partie haute du pied, juste en dessous des orteils. Le goût est juste formidable, et le fait qu’il vienne d’une jeune femme aussi séduisante rend l’expérience encore plus agréable. Sans même qu’on ne me le demande, je me mets également à sucer ses orteils, d’abord un par un puis plusieurs par plusieurs. « Garde-en un peu pour la prof ! » interrompt Roxane, en tendant son pied alors qu’Élise retire le sien. Sans me faire prier, j’exécute le même plan avec la même envie. Roxane est aussi une belle femme, et surtout, elle semble experte en fétichisme, ce qui me plait également beaucoup. Là où Élise se laissait faire, elle me guide davantage en orientant son pied et en me demandant d’insister sur certaines parties de son pied comme le talon ou les orteils. Au bout de quelques minutes, elle intervertit ses pieds pour que je réalise le même nettoyage sur le deuxième.

Une fois satisfaite, Roxane se lève et enfile à nouveau ses chaussettes et chaussures avant de déclarer « Bon je vous laisse, je pense que tu peux te débrouiller toute seule avec lui maintenant. Amusez-vous bien ! ». Maintenant en tête à tête avec Élise, on se retrouve tous les deux assez embarrassés, n’osant pas vraiment nous regarder dans les yeux. Pour briser le silence, Élise me tend son second pied, celui que je n’ai pas encore nettoyé, et m’ordonne timidement de le lécher. À peine ai-je eu le temps de commencer le nettoyage qu’elle m’interrompt : « Roxane m’a dit que certains fétichistes aimaient se faire marcher dessus, c’est bizarre dit comme ça mais… j’aimerais essayer si tu es d’accord. » C’est la cerise sur le gâteau, l’une des pratiques fétichistes que je préfère. Je précise quand même à ma partenaire que ça peut être douloureux, surtout avec une débutante, donc je que préfèrerais être sur le lit que par terre, ce qu’elle accepte sans problème.

Une fois allongé sur le dos dans le lit, j’invite Élise à commencer. Maintenant debout sur le lit, elle commence par poser un pied sur mon torse, sans vraiment oser mettre tout son poids. J’insiste en lui disant de ne pas s’inquiéter, et rapidement elle monte avec ses deux pieds au niveau de mes pectoraux. Alors que son poids me procure comme un massage, je regarde son sourire d’enfant qui découvre son jouet pour la première fois. De ce point de vue-là, elle m’apparait comme une géante, une déesse. Mais je suis interrompu dans mon admiration par Élise elle-même qui perd l’équilibre et se rattrape par erreur en me plaquant l’un de ses pieds en plein visage. Elle s’excuse immédiatement, ce à quoi je ne peux pas répondre immédiatement avec son petit pied sur ma bouche. Je réponds alors autrement en sortant ma langue pour lécher encore un peu son petit bijou. Une réponse qui semble l’avoir convaincue puisqu’elle choisit de s’appuyer contre le mur pour garder l’équilibre avant de frotter mon visage du bout du pied pendant plusieurs minutes. Minutes pendant lesquelles je n’ai pas manqué de déposer quelques baisers au passage.

C’est finalement quand elle décide de se remettre à me piétiner le reste du corps qu’elle perd à nouveau l’équilibre, pour de bon cette fois puisqu’elle me tombe directement dans les bras, avec son visage à quelques centimètres du mien.

« Ça va ? » je demande, un peu gêné par cette soudaine proximité.

« J’ai envie de t’embrasser, mais pas après que tu ais léché mes pieds… » me lance-t-elle avec une petite voix après une petite hésitation à me regarder tendrement, avant de se relever.

« Je… Oui ! Moi aussi j’ai très envie de t’embrasser. Je vais me brosser les dents et j’arrive ! » je lui réponds après un temps de surprise. Je me lève et cours vers mes affaires pour me nettoyer les dents dans la salle de bains. À mon retour, Élise est à nouveau allongée dans le lit, mais elle s’est déshabillée pour ne garder que ses sous-vêtements. Le message est on ne peut plus clair et me donne immédiatement encore plus envie d’elle. Cette tenue laisse apparaitre ses formes, avec une poitrine bien formée sans être trop généreuse et un corps féminin et athlétique. Je prends la peine de fermer à clé derrière moi et commence à mon tour à retirer mes vêtements, alors qu’elle commence à dégrafer son soutien-gorge avec élégance. Je la rejoins dans le lit prends son corps dans mes bras et commence à l’embrasser. Les prémices d’une nuit torride de partage et de complicité où, dans un tout autre registre, on saura tous les deux prendre notre pied ensemble. Je crois qu’on peut dire que la nouvelle année commence bien !

AdoFeet

Une réflexion au sujet de « Les leçons de la nouvelle année »

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