Une amitié à part

L’été… la saison où le corps se dévoile pour se libérer de la chaleur des couches de tissu qui l’ont recouvert tout au long de l’hiver. C’est la saison idéale pour admirer les pieds des filles, entourés de petites sandales ou même nus comme sur la plage ou à la piscine. C’est un spectacle qui ne laisse pas indifférent le fétichiste que je suis. Mais cet été a un goût particulier. Après les célébrations des diplômes de chacun, c’est le temps des « au revoir », des « bonne continuation » ou des « à bientôt », parfois en sachant pertinemment que ce bientôt n’existera sûrement pas. Heureusement, les meilleurs amis restent. C’est le cas de Caroline. On se connait depuis plusieurs années scolaires déjà mais c’est surtout cette année que l’on est devenus très proches. Mais très proches en étant très clair sur nos sentiments : de l’amitié mais pas plus.

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Une journée différente

Une journée de cours tout à fait banale commençait. Au programme, des maths, un peu d’histoire et d’anglais puis le repas avant de retourner en cours jusqu’à 17h. Arrivé à 8h au lycée j’ai rejoint mes amis qui étaient déjà tous présents, comme souvent en raison de mon manque de ponctualité. Nous formions une bande d’une dizaine de personnes assez mixte six garçons et quatre filles. Dans cette bande, il y avait surtout cette fille en particulier, Lilou. Depuis le premier jour où je l’ai croisée, elle m’a tapé dans l’œil. Les cheveux châtain-clair toujours joliment coiffés, de beaux yeux bleus, des joues de bébé, bien maquillée et avec de jolis petits pieds qui me faisaient rêver en tant que fétichiste. Bref je trouvais cette fille très attirante et j’essayais chaque jour de sympathiser un peu plus avec elle, en essayant de ne pas rentrer dans la fameuse « friendzone », c’est à dire le point de quasi-non retour à partir duquel on devient trop amis pour qu’une histoire d’amour puisse survenir.

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Pauline l’inaccessible

Il y a quelques années, au collège, nous étions allés observer un film dans la salle de classe d’histoire. Les lumières étaient éteintes, et avec seulement la lumière de la TV, on ne pouvait pas voir correctement. Comme il n’y avait pas beaucoup de place, j’étais au premier rang. Comme les gens derrière ne pouvaient pas voir l’écran, j’étais, comme quelques autres, assis sur le plancher, mon dos contre le banc. Il y avait cette fille derrière moi, qui a mis ses pieds sur le banc, qui était probablement tout à fait à son aise. Elle portait les chaussures neuves Nike Air, dans le blanc, avec du bleu et du vert à l’intérieur, et les chaussettes bleues océan de Garfield , avec Garfield des deux côtés de ses chevilles sexy. Ces chaussettes m’attiraient énormément. Les semelles de ses chaussures poussaient contre mon dos. J’étais amoureux de cette fille. Je ne pouvais pas même penser à une autre. Le nom de cette déesse de l’adolescence était Pauline. Depuis le jour où je l’ai vue marcher dans le bâtiment scolaire lors de mon premier jour à l’école il y a deux ans, j’avais été subjugué par sa beauté. Elle était du même âge que moi, mais quatre mois plus jeune cependant, elle était environ 10 centimètres plus petite, avait des cheveux bruns foncés, un visage sexy , et déjà un corps parfaitement formé, avec de grands seins ronds et des fesses serrées incroyable.

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Les macarons au Nutella

Moi ? Depuis tout petit, je suis fétichiste des pieds féminins. Malheureusement, ce fantasme est tabou et difficile à assumer dans notre société. C’est pourquoi, à l’approche de la nouvelle année scolaire, je me force à ne pas y penser, à ne plus regarder les pieds des filles dans la rue ou sur internet. A la rentrée, je me suis fait de nouveaux amis dont Mélanie. Elle était en couple depuis plusieurs mois déjà. J’ai donc tout de suite évité de me faire des films avec elle, même si elle m’attirait quand même un peu. En effet elle était plutôt jolie, brune aux cheveux longs, yeux noirs et assez petite. Elle avait un caractère bien trempé et même un peu garçon manqué de temps en temps. Quand on n’était pas d’accord avec elle, elle criait voire giflait (doucement). Elle compensait sa petite taille par un tempérament de leader, elle aimait quand c’est elle qui décidait. Sa phrase préférée : « c’est moi le chef ». J’essayais régulièrement de me revendiquer chef aussi mais je finissais avec sa main droite sur ma joue. Après tout, cela m’amusait aussi.

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Le chien du cours d’anglais

Ça y est, c’est la rentrée, l’occasion de faire de nouvelles rencontres ou de retrouver de vieilles connaissances dans cette nouvelle classe. Mais le jour j, à l’affichage des classes, aucun de mes amis n’est dans la mienne et il n’y a que quelques personnes que je connais de nom et ça s’arrête là. Le premier cours de l’année commence, avec notre professeur principal qui enseigne l’anglais. Comme je ne connais presque personne et que je rentre dans les derniers, je me mets tout seul au fond derrière 2 belles inconnues. la première (Rose) je l’ai remarquée avant même d’entrer dans la salle. Elle est assez petite, les cheveux longs bruns et détachés avec une mèche sur le côté et de yeux verts. La deuxième (Céline) que je n’avais pas remarqué mais qui est également jolie est un peu plus grande, blonde aux yeux noisettes.

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Dominé par une fille populaire

C’était en fin d’année scolaire. J’étais, comme depuis des années, fétichiste des pieds féminins. Il y avait une quinzaine de filles dans ma classe, mais une me plaisait plus particulièrement, Camille. C’était une fille populaire, le genre de fille qui a 150 J’aime à chaque photo publiée sur son mur Facebook. Visage d’ange, yeux verts profonds, cheveux bruns longs, lèvres pulpeuses et toujours très bien maquillée. Evidemment, elle ne savait pas que je l’aimais et encore moins que je rêvais d’être à ses pieds que j’admirais quand je pouvais en cours.

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Le parc des fantasmes

Cette fille, je l’aimais. Ses cheveux blonds, ses yeux verts, ses joues à croquer, son sourire à tomber par terre et ses petits pieds qui, étant fétichiste, me faisaient fantasmer. Elle répondait au doux prénom de Justine. Pour essayer d’attirer son attention, j’aimais faire des blagues de blondes pour la charrier, avec plus ou moins de succès. A mon grand regret, elle n’a presque mis que des chaussures fermées tout au long de l’année scolaire, ne laissant que très peu apparaître les petons que je convoitais tant. Tout ce que je pouvais deviner sur eux, c’est qu’ils étaient de petite taille, je dirais 36/37. Rien que d’imaginer ces bijoux dans leurs socquettes fines me mettait dans tous mes états. Je n’avais jamais dit à personne mon faible pour elle et encore moins pour les pieds.

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