Le premier garçon à mes pieds d’adolescente

L’histoire que je m’apprête à vous raconter, bien qu’enjolivée par quelques touches de subjectivité, m’est réellement arrivée. À ce jour, c’est sans doute l’expérience la plus inattendue et surprenante que j’ai pu vivre en tant que fétichiste des pieds. Car, même si je suis actuellement dans une relation qui me permet d’explorer ces fantasmes sans tabou, il m’a fallu quelques rencontres passagères pour comprendre ce qui me plaisait réellement.

Que ce soit pour le visuel, l’odeur ou le goût, je voue depuis ma tendre enfance une fascination et une adoration pour les pieds. Pourtant il y a une chose que j’ai seulement découverte à l’âge de 17 ans : c’était que j’appréciais encore plus que quelqu’un soit soumis aux miens.

Péripéties et fétichisme

Je sais pas vous, mais vers chez moi, il n’a pas neigé une seule fois. Et on est en Février quand même ! 
En cette période, j’ai pour habitude d’être habillée relativement chaudement, mais en ce moment, c’est limite je me crois en Printemps. Ce vendredi 11 février, par exemple, grand soleil toute la journée, et il faisait entre 10 et 15 degrés. Dès le matin, j’ai tout de suite vu une belle journée en perspective qui s’annonce. 

Une après midi ensoleillée entre sœurs

L’histoire que je m’apprête à vous raconter date de la semaine dernière, soit le vendredi 25 mai. Ce jour-là, j’étais à la maison, tranquillement. Je n’avais rien de bien particulier à faire. Mes parents étaient au travail et rentraient tard le soir, et ma sœur était au lycée. En effet, j’étais donc toute seule. J’ai fait un peu de ménage le matin, je suis allée à la douche en fin de matinée, je me suis préparée à manger pendant midi, et en début d’après-midi j’ai regardé une série sur mon ordinateur portable.

Le baptême fétichiste d’AdoFeet

Voilà des mois, si ce n’est des années que j’attendais de pouvoir vous écrire cet article. Il y a quelques jours, j’ai en effet vécu, plus de cinq ans après le début de mes fictions, ma première véritable expérience fétichiste. De passage à Paris pour quelques semaines, je savais déjà à l’avance que la grande majorité des annonces fétichistes sur Internet s’y trouvaient. J’avoue que mon regard sur ces rencontres était mitigé, surtout qu’elles sont payantes 99 % du temps. Rémunérer une inconnue pour assouvir ses fantasmes, il y a de quoi faire facilement un lien avec des pratiques controversées et illégales.

Une fois installé dans la capitale, je me suis mis à éplucher le web à la recherche de la perle rare. Entre les annonces qui repompaient des photos de Google Images et les reines sadomaso avec martinet et tenue en cuir, j’avais du mal à trouver mon bonheur. J’envoyais quand même quelques messages aux propositions qui me tapaient le plus à l’œil, ainsi que celles qui n’abordaient pas la question du tarif dans leur description.